Delon, sans maquillage
Hier, j’ironisais quelque peu sur la télévision et les millions de téléspectateurs de Bienvenue chez les Ch’tis. Oh, je me moquais gentiment, avec ce un sourire un peu désabusé de celui qui ne va pas tirer sur l’ambulance, parce que c’est trop facile. Cette télé si souvent creuse, ce « prisme déformant » qui accentue la laideur des hommes avec une telle habileté, arrive pourtant encore parfois à renvoyer une belle image.